22/11/63 de Stephen King (lu le 01/05/13) :<o:p></o:p>

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Pages : 937

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Prix public : 25,90€<o:p></o:p>

Paru en : mars  2013<o:p></o:p>

Edition : ALBIN MICHEL<o:p></o:p>

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Jacob (Jake) Epping est professeur d’anglais dans un lycée à Lisbon Falls, dans le Maine, et donne notamment des cours pour adultes.<o:p></o:p>

Al Templeton est gérant d’un fast-food aux prix plus qu’attractifs, Jake est un de ses fidèles clients.<o:p></o:p>

Subitement gravement malade, Al appelle Jake pour lui parler. Al est très mal en point et semble avoir pris 10 ans depuis la veille, il a perdu beaucoup de poids et ses cheveux sont devenus blancs. Que s’est-il passé ? peut-on vieillir ainsi en un jour ?<o:p></o:p>

Al a un secret qu’il doit confier à Jake avant son imminent trépas : il possède un moyen de voyager dans le temps, dans le passé et plus exactement à travers une porte qui l’emmène tout droit en septembre 1958. Il confie à Jake la mission d’empêcher l’assassinat du président Kennedy, lui-même étant trop malade pour attendre toutes ces années dans une autre époque.<o:p></o:p>

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Jake va donc devoir dire rapidement s’il décide de prendre le relai et résider cinq années dans le passé pour tenter un sauvetage qui s’annonce difficile. <o:p></o:p>

C’est ainsi que Jacob Epping, sous l’identité de George Amberson, partira en mission « sauver le président Kennedy » et ce ne sera pas sans peine car le passé est tenace…<o:p></o:p>

Au cours de son voyage temporel, George essayera d’empêcher la tragédie familiale qu’a vécue un de ses touchants élèves, de sauver une femme dont le mari est devenu dangereux et surtout, au cours de ces années, il mènera l’enquête sur Lee Harvey Oswald afin de s’assurer de sa future culpabilité et de l’empêcher de commettre un crime irréparable.<o:p></o:p>

Mais le passé peut-il être modifié sans conséquence ? quel sera le prix à payer s’il parvient à sauver JFK ? Le présent sera-t-il forcément meilleur ?<o:p></o:p>

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Stephen King, à la veille du funeste 50^ème anniversaire de la disparition de JFK, rouvre le débat sur la culpabilité d’Oswald, remet en cause la destinée, voyage dans le temps et nous invite à le suivre.<o:p></o:p>

Ses références à Derry, à Ca (superbe trilogie thriller dans laquelle les clowns ne sont plus drôles du tout) sont un clin d’œil à ses fidèles lecteurs et c’est avec joie que je me suis laissé emporter dans ce roman.<o:p></o:p>

22/11/63 est un sacré pavé mais c’est surtout une belle aventure dans laquelle s’abandonner avec délice.<o:p></o:p>

De plus, Stephen King termine en beauté avec une Happy End, appréciez la car ça n’est pas dans les habitudes de ce grand auteur !<o:p></o:p>

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Quelques fautes de frappe trouvées :<o:p></o:p>

Page 155 : m’a dit qu’il venait boire un verre ici en temps en temps …<o:p></o:p>

Page 818 : Garée à l’ange de North Pearl et San Jacinto …<o:p></o:p>

Page 877 : quelqu’un m’appelait, mais par ni l’un ni par l’autre de mes deux noms.

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