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La dame à la larme de Claire Wolniewicz
La dame à la larme de Claire Wolniewicz lu le 25/06/2011 :
Ca change, j’ai bien aimé
Pages : 267
Prix public : 19€
Paru en : avril 2011
Edition : VIVIANE HAMY
Adam Volladier, artiste peintre reconnu se réveille un matin sans ne plus éprouver le moindre sentiment pour sa femme Rita. Il a perdu toute inspiration pour peindre, une grosse commande est en attente et le temps défile sans qu’Adam ne sache plus comment raviver son imagination autrefois fleurissante.
C’est la panique, que lui arrive-t-il ? Le récent décès de sa grand-mère Joséphine aurait-il un lien avec ce qui lui arrive ? Joséphine qui l’a élevé quand ses parents sont décédés bien trop jeunes, Joséphine secrète et mystérieuse, que cachaient ses silences ?
Alors que les jours avancent dans cet état de stress constant, il se rend compte que des tableaux ont été peints (de sa main semble-t-il) durant la nuit dont il ne garde aucun souvenir.
Ces peintures représentent une femme, de dos, entourée de scènes qui ressemblent au déroulement d’un crime.
Cette femme ressemble à s’y méprendre à sa grand-mère étant jeune. Qui est l’homme tué ? Cette histoire s’est-elle réellement passée ?
Tous ces symptômes ressemblent à une dépression et pourtant, ces toiles, comment se fait-il qu’il ne se souvienne pas les avoir peintes, pourquoi l’histoire qu’elles racontent lui semble si étrangère ?
D’étranges rencontres l’emmèneront vers les voies spirituelles, lui permettant d’envisager le scientifiquement impossible.
Au fil de ses investigations, il va remuer le passé de sa grand-mère pour essayer de comprendre les messages qu’elle lui transmet de l’au-delà.
Le style est poignant, l’histoire prenante et on a hâte qu’Adam trouve réponses à ses questions afin qu’il reprenne son « ancienne » vie. Il fait souffrir sa femme, leur fils Felix, il se fait souffrir. Il doit connaitre les vérités cachées sous ces toiles.
Ce roman, sans être mystique ouvre des perspectives autres que celles du « raisonnable », il suggère l’existence de fantômes tout en restant très factuel et malgré le scepticisme d’Adam qui apprend ce monde de croyances avec un regard très distant… au début.
La faute : parce que presque chaque livre contient au moins une faute d’orthographe, de frappe ou de mot manquant, je me suis donnée comme mission de vous la/les trouver pour chacune de mes lectures, ainsi, vous pourrez le commenter à la condition que le livre ait été lu, cela va sans dire.
Pages 145, 146, 225 : faute d’accord
Page 167 : faute de frappe
Page 256 : faute de grammaire
De l’édition VIVIANE HAMY
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